Musiques Transes Symphoniques
Tiny Orchestra Transe Symphonique
Musique composée par Yves Ruhlmann
26 Juin 2025
Non connue encore
Audio WAV & MP3 en Haute Définition
Je garde ce projet sous le coude depuis longtemps, pour être précis depuis 2022… Cette œuvre va s’appeler Blessing of Love, que l’on peut traduire par Bénédiction d’Amour, et elle va utiliser un « mantra » très puissant, vous allez comprendre pourquoi. Voici son nom :
Je bénis qui tu es…
Ce n’est pas pour rien, je pense, que j’ai attendu si longtemps, car cette œuvre… Ce que je vais vous partager est un témoignage vraiment très intime. Cette œuvre a eu un impact dans ma vie au-delà de tout ce qui est imaginable. J’ose même ne plus parler de « miracle » ou plutôt, si : comme en étant l’illustration parfaite…
Alors, pour parler de choses très personnelles : au début de l’année 2022, j’étais au fond du gouffre…
Tout ce que j’ai activé aujourd’hui en termes de souveraineté dans ma vie n’était absolument pas présent à ce moment-là. Si bien que je me suis retrouvé dans une situation où, en une seule semaine :
• Une relation de couple très douloureuse s’est arrêtée,
• J’ai perdu mon travail,
• Ma voiture a subitement rendu l’âme,
• J’ai eu un jugement dévastateur de divorce d’avec une compagne précédente,
• Mon fils s’est retrouvé aux urgences le même jour,
• Et moi-même, je suis tombé gravement malade en fin de semaine pour couronner le tout.
Tout ce que je vous raconte là est hyper intime, mais c’est important pour comprendre le sens de cette œuvre.
À ce moment-là, quelque chose de très particulier s’est passé. Je ne m’en étais pas rendu compte, mais je m’étais en fait créé la possibilité de quitter ce monde. Bien sûr, je ne le percevais pas mentalement, je me disais juste : « Bon, je ne vais pas consulter, ça va passer… »
J’étais dans mon appartement, dans la Vallée de Joux, en Suisse. J’attendais, je patientais… Mais au bout de quatre ou cinq jours, j’ai commencé à avoir de véritables hallucinations. Encore une fois, je le précise, c’est vraiment super personnel, mais j’ai commencé à percevoir, dans ces hallucinations, la présence de ma grand-mère. Je voyais des images, puis une porte dans le ciel, littéralement…
Je sentais qu’elle me montrait cette porte et je me suis dit : « Tiens, mais je connais cette porte… Et oui! cette porte… C’était la même que celle que j’avais prise pour entrer dans ce monde ! » C’était donc aussi la porte de sortie…
Quand je suis revenu à ma conscience lucide, j’ai compris mentalement : « Ok… Demain, si je ne vais pas me faire hospitaliser, eh bien… Je vais quitter ce monde… »
Ce n’était pas une injonction extérieure, ce n’était pas « Dépêche-toi, il faut que tu fasses quelque chose ! » C’était juste une question : « Quel est ton choix ? Tu restes ou tu pars ? »
Mon choix a été de rester.
J’ai été hospitalisé pendant une semaine, et les médecins m’ont confirmé que j’étais passé très proche de la mort. En sortant de l’hôpital, je suis tombé dans une dépression extrêmement profonde. Je n’avais jamais connu la dépression auparavant, mais là, je n’arrivais juste plus a fonctionner, dans ma vie, dans ce monde…
À l’hôpital, j’ai commencé à composer toute une série de « mantras » avec les procéder de la musique Code Cantique que j’avais développé au cours des deux années précédentes. À cette époque, la musique Transe Symphonique n’existait pas encore, mais j’avais déjà composé une cinquantaine de « mantras », dont Paix et Amour.
À ce moment là, j’ai composé un cycle de 21 mantras, tous liés à la guérison, à la séparation, et au pardon. J’ai appelé ce cycle Le Chant de la Rose. Ce cycle parlait d’amour, de ses épines aussi… et parmi eux se trouvait un mantra fondamental, mais dont je ne réalisais pas encore l’importance : Je bénis qui tu es.
Ce mantra parlait du pardon, du fait de bénir l’autre, même dans la souffrance, même après une séparation difficile.
À ce moment-là, j’étais en pleine dépression, je pleurais tout le temps. C’était difficile d’enseigner, de donner mes cours, ou même d’être avec mon fils le week-end sans être en profond état de détresse. Un jour, il est venu me voir, il avait trois ans, et il m’a tendu un biberon en me disant : « Tiens papa, ça va aller mieux. » Il était tout serein. Cela peut être aussi simple que cela de guérir (les enfants le savent dans leur cœur et leur âme) Ce fut un merveilleux cadeau qui m’a profondément touché…
Alors je me suis dit : « Allez, rendez-vous au printemps, rendez-vous à Pâques. D’ici là, ça devrait aller mieux ! Ca va passer… »
Le temps a passé, mais rien n’a changé. J’ai attendu la semaine de Pâques et, le dimanche soir précédent, j’ai réalisé que ça ne suffirait pas…
J’ai alors eu une prise de conscience énorme et douloureuse : Si la musique, si ce que je crée pour les autres, ne peut pas me sauver moi-même, alors cela ne sert à rien, et j’arrête tout simplement…
J’ai alors décidé que, chaque jour de la « Semaine Sainte », j’irais en forêt chanter 108 fois le mantra Je bénis qui tu es, plusieurs fois par jours.
J’ai commencé le lundi matin… Mais je n’arrivais pas à chanter. Il n’y avait que des pleurs, des pleurs, des pleurs… Mais je me suis forcé.
J’ai continué le mardi, le mercredi, le jeudi… Et le vendredi, quelque chose s’est produit…
Ce vendredi-là, après une dernière marche et un feu… j’étais guéri.
Totalement guéri.
Plus une seule larme. Plus une seule trace de dépression.
Ce n’était pourtant pas le jour de la « résurrection », mais j’étais guéri, cela juste pour dire que ce qui s’est produit va au-delà la symbolique de cette semaine.
Ce n’est que récemment que j’ai compris que cela s’appelait un miracle.
Mais pas un miracle religieux.
C’est un miracle de foi.
Pas la foi religieuse, mais la foi en quelque chose de plus grand, et déjà en soi.
Depuis ce jour-là, j’ai retrouvé cette force, cette souveraineté en moi que je n’ai plus jamais perdue depuis.
Deux mois après, naissait la musique Transe Symphonique.
Trois mois après, Paix et Amour – Transe Symphonique était créé.
Depuis ce jour, je sais que la musique peut créer des miracles si on est prêt à les accueillir.
C’est cette œuvre Je bénis qui tu es qui m’a littéralement sauvé que je m’apprête à enregistrer et sortir sous le nom de Blessing of Love, avec un petit effectif de musiciens merveilleux choisis pour incarner cette intimité du cœur.
Si vous ressentez l’élan de recevoir cette œuvre, d’en accueillir le miracle près de vous, qu’elle résonne en vous à la mesure de ce que vous êtes et de ce que vous souhaitez recevoir, sachez qu’elle va bien au-delà d’une simple musique. Elle touche quelque chose de plus profond, d’universel.
Je vous remercie infiniment, d’avance, pour votre soutien en participant à la prévente. Votre contribution me permettra de financer cet enregistrement.
Quoi qu’il en soit, je bénis qui tu es !
Merci d’avoir pris le temps de lire, d’être présent(e), d’être simplement qui tu es.
Que cela se concrétise ou non par une précommande, merci d’être là. ❤️
Yves Ruhlmann,
compositeur et fondateur de Symphoniya®
👉 Symphonie d’Amour et de Gratitude | 8 Juin – Lausanne, Suisse
Claude Aubert
Marie Lefrançois
Martine Meylan
Corinne Rochat
Stéphane Schlup
Isabelle Traeger
Agathe Basset
Claire-Lise Chervet
Pour faire un don libre pour ce projet, c’est ici :
👉 Faire un don
Cela compte les dons et les préventes